Je m’appelle Sophie. J’ai trente-huit ans, je suis mariée depuis quinze ans, deux enfants, une vie sans éclat. Tout est bien rangé : maison, travail, vacances en famille. Trop rangé. Mais depuis quelque temps, j’ai découvert un trouble inattendu. Chaque fois que j’allais au garage pour la voiture, je ne pouvais m’empêcher de mater mon garagiste.

Il est grand, solide, les mains couvertes de cambouis, le tee-shirt toujours taché, moulant ses épaules. Rien à voir avec mon mari, doux, effacé, mais qui n’a plus vraiment d’énergie à me donner. J’ai honte de l’avouer, mais plus je le voyais, plus je bandais dans ma culotte.

Alors, ce matin-là, j’ai pris prétexte d’une révision pour aller le voir. Ma voiture n’avait rien de particulier, mais je voulais être seule avec lui. Je portais une robe d’été légère, volontairement sans soutien-gorge, et une petite culotte en dentelle, juste au cas où.

Quand je suis entrée dans l’atelier, l’odeur d’huile et de métal m’a enveloppée. Lui, il s’est tourné vers moi, ce sourire franc qui me faisait déjà fondre.
— « Bonjour Sophie. Qu’est-ce qui ne va pas avec la voiture ? »
— « Moi, peut-être », ai-je pensé, mais je me suis contentée de sourire.

Il m’a invitée à passer dans le petit bureau vitré au fond, sous prétexte de vérifier les papiers. Quand la porte s’est refermée, le silence s’est installé, presque lourd. Je sentais son regard glisser sur ma robe. Mon cœur battait si fort que j’avais l’impression qu’il allait entendre.

Alors, je me suis lancée. Je me suis approchée, j’ai levé le menton, et j’ai collé mes lèvres aux siennes.

Le baiser a été brutal, urgent. Ses mains calleuses se sont posées sur mes hanches, glissant immédiatement sous le tissu. Quand il a agrippé mes fesses nues, j’ai gémi.
— « Putain, tu sais ce que tu fais ? » a-t-il soufflé.
— « Oui… et je le veux », ai-je répondu.

Il m’a plaquée contre le bureau. Ma robe est remontée en un geste, ma culotte a volé sur le sol. Sa main a glissé entre mes cuisses, ses doigts ont trouvé ma chatte déjà trempée. J’ai lâché un cri, agrippant le bord du bureau.

Puis il s’est agenouillé. Son visage s’est enfoncé entre mes cuisses. Sa langue a attaqué mon clito, rapide, précise. J’ai hurlé. Sa barbe râpait ma peau, sa langue me faisait vibrer, mes jambes tremblaient tellement que je me suis raccrochée aux papiers étalés.

— « Oh oui… là… continue… » ai-je gémi, incapable de me retenir.

J’ai joui une première fois sur sa bouche, un orgasme violent, incontrôlé. J’étais déjà trempée, mes jus coulant sur son menton. Mais il n’en avait pas assez.

Il s’est levé d’un coup, a ouvert sa braguette. Sa bite a jailli, énorme, gonflée, veinée. J’ai écarquillé les yeux, excitée comme jamais.
— « Mets-toi à genoux », a-t-il ordonné.

Je me suis laissée tomber au sol. J’ai saisi sa queue à deux mains, chaude, palpitante, et je l’ai prise en bouche. Le goût salé a explosé sur ma langue. J’ai pompé lentement, savourant chaque centimètre, puis plus vite, aspirant son gland, joues creuses. Il a grogné, une main dans mes cheveux, guidant mes mouvements.

— « T’es une vraie salope… et ton mari n’en sait rien », a-t-il craché.

Ces mots m’ont traversée comme une décharge. Oui, j’étais une salope. Et ça m’excitait à en mouiller encore plus.

Il m’a relevée sans ménagement et m’a retournée contre le bureau. Sa bite s’est enfoncée d’un coup dans ma chatte trempée. J’ai crié, surprise par la brutalité, mais mon corps en redemandait. Mes fesses claquaient contre ses hanches, le bureau tremblait sous nos coups. Le bruit humide de mes gémissements se mêlait au grincement du bois.

— « Défonce-moi… » ai-je supplié, mes seins écrasés contre le bureau.

Ses coups de reins étaient secs, puissants, chaque pénétration me déchirait de plaisir. Je sentais mes jus couler sur mes cuisses, son odeur de sueur et de cambouis m’envahir.

Il m’a ensuite hissée sur le bureau, écartant mes jambes. Il s’est enfoncé en moi en missionnaire, son torse collé au mien. Nos langues se sont mêlées, ses mains serraient mes seins, ses coups de reins m’empalaient sans répit. J’étais folle, possédée, incapable de penser à autre chose qu’à sa queue me martelant.

— « Remplis-moi… » ai-je crié, mes ongles creusant son dos.

Il a grogné, accéléré encore, et quelques coups plus tard, j’ai senti son sperme jaillir en moi, brûlant, puissant. Mon orgasme a explosé en même temps, mes jambes se serrant autour de ses hanches, mes cris résonnant dans le petit bureau.

Quand il s’est retiré, le sperme a coulé de ma chatte sur le bureau, dégoulinant entre mes cuisses. Je respirais comme une bête, le corps secoué de spasmes. Lui, il souriait, la braguette déjà remontée.

Je me suis redressée, j’ai rajusté ma robe, les joues rouges, le corps encore tremblant.
— « Alors… prochaine révision dans six mois ? » m’a-t-il lancé avec un clin d’œil.
— « Peut-être avant », ai-je soufflé, les jambes molles.

Je suis sortie du garage avec l’odeur de foutre et de cambouis collée à ma peau. Et je savais déjà que ce n’était pas la dernière fois.

Préférence de la coquine : branlette espagnole
Endroit de préférence pour le sexe : reproduire les scènes porno
J’habite à Lyon et j’ai écumer la plupart des boites libertines.